fractal-s-forms : musique electronique

Bertrand LOREAU : « Priére » est donc naturellement venu rejoindre ma discothèque : disque très varié, plus travaillé que beaucoup d’autres de la production : »new age » (…je n’aime pas bien ce terme, mais il faut bien s’y retrouver chez les disquaires !)et très relaxant. Des sonorités se rapprochent du beau générique d’USHUAIA. Une préférence marquée pour le morceau 7 « soleil blanc »…proche des compositions de Ray LYNCH ou Bernard XOLOLT.

J’ai écouté                       « Réminiscences » quatre ou cinq fois : que dire ? A posséder absolument. Une très grande sensibilité de jeu , des sons « vangelisiens « , « schulziens « . Tous les titres sont d’une grande richesse avec des mélodies et des sonorités « éthérées » et une préférence pour les titres 3 (« Impro-Vision ») et 7 (« little dream »)

Quant à « Sequences », je ne l’ai pas encore écouté suffisamment calmement pour le commenter d’avantage …mais le titre est éloquent.

Pour résumer, ces trois disques montrent toutes les possibilités et talents de Bertrand, à l’aise sur trois registres différents (mélodique, séquencée et diversifiée) et je pense découvrir ses autres albums au fil du temps. Il affirme préférer la  musique où l’on sent qu’ »il y a un musicien derrière la machine ».

MOONSATELITTE :

J’ai découvert la musique de Marc grâce à Bertrand à travers le CD « Missing Time «   OUHHH, une petite révélation. Je reste certes classique dans mes goûts (séquenceurs et mélodies), mais cette musique est terriblement bien construite :…esthétique, soignée, mélodique, très calme puis évoluant vers plus de dynamisme, aux séquences évolutives et s’enchevêtrant, lyrique souvent, aussi et surtout très variée. J’ai dit à Marc que ses compositions regroupaient souvent le meilleur des trois «  grands « (séquences à la TANGERINE DREAM, mais pas toujours néanmoins), solis irréels et nappes «  schulziennes », échantillons, effets et quelques hymnes « jarriens «  aussi (sequenzer 5 )…et je le pense sincèrement !

MISSING TIME : A écouter en passant une heure à contempler un paysage montagneux…c’est  ce que j’ai fait ! Il faut vraiment savourer cet album tranquillement de A à Z. Musique gracieuse, subtile, sublime : le contemporain est presque classique. (Je pense la même chose de REMINISCENCE de Bertrand LOREAU).

SEQUENZER volume 2 : à écouter absolument : « unendlich sequencer «  du  disque SEQUENZER vol II (pour planer au dessus des monts de l’Himalaya !). Un des plus beaux morceaux que je connaisse.

Je n’ai pas retrouvé dans les trois albums que je possède le morceau présent sur YOU TUBE : « in magnetic studio 2.0 «  (et il y a d’autres extraits).

Dommage car lui aussi est canon !

Bernard WENDLING :

J’ai découvert son œuvre avec la compilation «  SYNTH’AXE « (projet de jeunes musiciens).

OUT OF TIME :

La musique de Bernard est entraînante, gaie, extrêmement accrocheuse, envoûtante parfois et toujours très puissante, rythmée souvent par des influences de  WORLD MUSIC (combien de titres pourraient faire de superbes génériques ?!).

Tous les morceaux valent le coup.

Je cherche, parfois, à trouver quelques points négatifs, mais là, je ne vois rien (bon, pour me venger et en trouver, je vais écouter des « nanars » NEW AGE, que j’avais acheté, juste séduit par la pochette, à l’époque c’était moi le nanar, mais j’avais moins de 20 ans !).

ALPHA LYRA :

 «  Space music «  dans toute sa splendeur, Christian PIEDNOIR nous entraîne aux confins de la galaxie avec, en effet, certaines ressemblances avec Michael STEARNS ou John SERRIE.

Je ne connais que des extraits de YOU TUBE.

Je vais acquérir d’ici peu, l’une de ses galettes !

Frédéric  GERCHAMBEAU : J’accroche un peu moins à sa musique, plus expérimentale mais je me rappelle avoir eu beaucoup de mal avec ZEIT ou ATEM  de TANGERINE DREAM ou BEAUBOURG de VANGELIS…maintenant, il m’arrive d’écouter séduit, de l’ambiant dark ou certains extraits difficiles de Pete NAMLOCK, par exemple.

Entre 20 et  40 ans, les goûts évoluent !!

Marc Henri ARFEUX : je ne connais rien de lui.

D’Olivier BRIAND, je possède l’album «  au-delà des nuages «. Comme à mon habitude, je l’ai écouté plusieurs fois et j’ai été enchanté par les compositions les plus entraînantes de l’album proches de la BERLIN SCHOOL.

Mais d’autre part, j’adhère à ses compositions un plus délicates d’approche car j’ai un goût prononcé pour certains artistes plus « minimaux » ou influencés par la « world music » (…Steve SHEHAN, Vidna OBMANA)

Voilà les musiciens de PWM sont des artistes passionnés (la passion est la source principale de l’envie de vivre) (…et ce au même titre que ceux de MUSEA pour le rock progessif , je pense.) qui restent en petit comité certes mais pour protéger leur talent et leurs créations.